Les policiers étaient disposés à intervalles réguliers pour s'assurer que tout n'allait pas à la débandade, mais semblaient eux aussi avoir le cœur léger.
Au resto, pizzeria sur trois étages, ça scandait d'un étage à l'autre des chansons. Nous interrompions notre conversations aux 5 minutes environ pour nous joindre aux chants, tapage de mains et de tables. De retour vers l'auberge après le souper, même scénario à l'obélisque. Ça duré des heures.
Mais quelle était la source de cette joie incommensurable?! Me demanderez-vous. Hé bien leur équipe venait de gagner un tournoi.
Sauf votre respect, les fans des Canadiens peuvent aller se rhabiller.
The porteños, people from Buenos Aires, were gathered around the giant obelisk on 9 de Julio. There was enough of them to shut down 9 de Julio, the widest street in the world, for as far as the eye could see, as well as 9 de Julio's two service roads, as well as all the roads that feed into 9 de Julio.
They were dressed in blue and yellow, and between the sounds of store-bought fireworks exploding in the air, they sang songs, chanted, and jumped up and down, sometimes with accompanying one-handed karate chop motion over top of their heads, like pistons in a car.
Boca Juniors had just won the league championships.
Wow, quelle expérience cela a du être pour vous deux. Toute cette joie victorieuse d'un peuple fier de son équipe nationale. Y-a-t-il eu du grabuge comme à Montréal pour la coupe ? J'espère que non; profitez-bien de votre séjour et bonne continuité.
RépondreSupprimerMaman X
C'est certain, le Canadiens est tellement poche cette année. Y'a pas grand monde qui crierait dans les rues de Mtl pour eux ces temps-ci! Crois-moi!
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